Bienvenue chez Maria [PV Zeff Lichtwald]

Sur le chemin pour ce rendre chez moi, j'ai réussi à ne pas tombé une seule fois. MIRACLE ! Même si ça fait des années que les roches poussent sur mon chemin. On est arriver, après environ une demi heure marcher, chez moi. Je fis entrer mes invités dans mon appartement. Ok, j'avoue ce n'est pas très en ordre.
-Tu peux faire comme chez toi et je m'excuse pour le ménage. Je n'ai pas eu le temps de le faire. dis-je en allant coucher Chiru qui dormait dans son panier.
Des cartons vide trainait encore dans un coin. Des rouleaux de tissus étaient tombé par terre près d'un bureau avec une machine à coudre dessus. Un autre bureau était remplis de dessins éparpiller. Certains était même tomber par terre. Par contre, les crayons était tous bien placer dans des pot à crayons. Il y avait même des vêtements qui séchaient sur une corde à linge qui passe d'un lustre à une poignée de porte.
La cuisine, elle, avait l'air bien en ordre. De la vaisselle séchait sur le comptoir sur un linge à vaisselle et la table n'avais absolument rien dessus comparativement aux deux bureau.
L'un des murs avait une peinture en cours dessus alors que les autres étaient tous blancs. La porte ouverte de la chambre à coucher laissait voir le bordel qui reniait à l'intérieur de celle-ci. Un chevalet, dans la chambre, montrait un portrait en cours.
J'ouvris alors le frigo et chercha quelque chose à manger.
-Zeff tu voudrais manger ou boire quoi ?Et ton ami lui ? Est-ce qu'il veut quelque chose ?dis-je en enlevant mon chapeau et refermant la porte du frigo en même temps. Je lança mon chapeau direct sur le porte-manteau qui était placer juste à côté de la porte d'entrée.

Je bien fait attention sur le chemin, c'est vrai que les pierres semblaient...Pousser du sol, comme des champignons, c'est vraiment pas pratique.
Dés lors que nous sommes entré dans son appartement, j'était un peu nerveux, après tout c'est la première fois que je vais chez quelqu'un d'autre que chez moi...Et c'est une fille en plus.
Je peut faire comme chez moi...Non ! Sinon je me serait déjà mis à tout ranger et faut pas... Donc je baladais un peu mon regard dans la pièce avant de remarquer les dessins.
- Euh...Je ne vais pas m'imposer chez toi, fait donc ce que tu veut ca m'ira, puis Qiuan...Est déjà parti chasser son dîner, il nous retrouvera...
Ca veut dire que je suis seul, d'un coté je préfère, les commentaires de Qiuan sont parfois vraiment dur à ignorer, mais d'un autre coté je suis convaincu qu'il le fait exprès de me laisser...Aaaaaaaah, il est trop compliqué...
- Tu semble être une artiste à ce que je vois. Dis-je alors que j'avais qu'une envie, celle de tout ranger...

Bon je fais quoi alors... Je crois qu'il me reste encore du fromage et des frites. Je pourrais faire ça alors... Bon c'est décidé ça va être ça !
Je sorti un sac de frittes congelé et un sac de fromage en grain du congélateur. J’allumai le four grille-pain et étala les frittes sur une plaque à cuisson. Je mis alors le fromage dans un bol d'eau chaude pour le faire décongeler et mis les frites au four. Je fis ensuite bouillir de l'eau dans un petit chaudron et je rajouta de la poudre à sauce brune dans l'eau pour faire la sauce.
-Tu peux t'assoir si tu veux. Je n'ai peut-être pas de canapé, mais les chaises sont confortable, dis-je d'un voix enjouer.
Quand j'eus fini de préparer la sauce les frites était prête. Je fis donc les assiettes. Les frites dans le fond, le fromage chaud sur le dessus et le tout nappé de la sauce brune. Je servis les 2 assiettes à la table et en plaça une 3ème qui n'avait pas de sauce dedans.
J’allai réveiller Chiru en lui disant que le repas était près et vint m'assoir à la table.
-C'est une "spécialité" de mon coin de pays. Au nord des États-Unis, certain restaurant en font, mais ce n'est pas aussi bon que la celle qu'on sert chez moi. On appelle ça de la poutine et si jamais tu veux de quoi à boire dit le moi. Si tu trouve que je parle trop dit le aussi.
Chiru nous avait rejoins à table et s'attaquait déjà à une frite qu'il avait pris entre ses petites papattes. Il est trop chou

Je m'asseyais donc sur un des chaises, me retenant de tout ranger, on à vraiment du mal à lutter contre une manie.
Un plat inconnu... Des pommes de terres frites "ensevelis" sous du fromage fondant et une sauce brune dont je ne pourrais pas dire la composition, la simplicité de la recette m'étonne un peu, je devrais la garder dans un coin de ma mémoire, ça sera mieux que les plats instantanés...J'espère pouvoir réussir ce plat, la dernière fois que j'ai voulu cuisiné c’était une catastrophe.
-Le poutine... Je regardais le plat qui me semblait être quelque chose de très calorique...Le sport mon grand, le sport...
-Non non, je ne boit que très rarement pendant les repas, c'est pas la peine de te déranger Je ne pouvais pas m’empêcher d'avoir un sourire quand à sa deuxième remarque.
- Haha, non tu ne parle pas trop, je trouve ça plutôt agréable de pouvoir faire la conversation, si tu veut parler ne te gène pas, après tout tu es chez toi. Je ne sait pas si elle à un rituel avant le repas, une prière ou quoique ce soit, alors j'attendais...quelque chose, ou même rien, si elle commence à manger je commencerais aussi...

Il attends quoi pour commencer ? C'est pas comme si j'étais pour faire la prière pour bénir ce repas. J’étouffai un rire en pensant à ça. Je commençais donc à manger et c'est sans vraiment y penser que je lui demanda la bouche pleine;
-Tu attends quoi pour manger ? Ça va refroidir, et j’avalai ma boucher.
Je dois faire dur, parce qu'on ne peut pas pire que je suis la fille qui mange avec le plus de classe. Il me prit que cinq minutes pour finir mon assiette et je me mis à regarder la peinture que j'avais commencer au mur.
-Je vais devoir refaire quelque modification dessus les lignes, me dis-je à moi-même.
Le modèle pour la peinture avait été dessiner au préalable sur le mur pour que les lignes soient bien faites, mais à chaque fois que je le regardais je voyais un nouveau défaut.
Je me leva de table et alla sortir un verre et un bol de l'armoire et sorti le lait du frigo. Je revint à la table avec le tout et rempli le bol de lait pour Chiru et par la suite remplis le verre pour moi que je cala d'un coup.

Ah bien non, apparemment je me serais trompé, je pris une fourchette du met qu'on m'avais gentiment préparé.
-Ch'est Délichieux Dis-je en savourant le repas.
Elle àdéjà fini de manger ? Wouah, j'avais jamais vu quelqu'un manger aussi vite. C'est plutôt impressionnant mais une question me venait à l'esprit, comment fait elle pour garder la ligne ? Au moins, elle est naturelle. Pensais-je en souriant alors qu'elle se ré-installait à table, j'en suis à peine à la moitié de mon repas qu'elle à déjà tout fini. Wouah encore...
Je regardais la peinture qu'elle semblait regarder d'un oeil critique, je n'ai jamais eu l'âme d'un artiste donc...Je la trouve très bien moi.
- Tu mange drôlement vite. Disais-je avec le sourire.
- Mais tu as l'air absorbée par la peinture sur le mur, je me trompe ?

Je ne l'avais même pas entendu parler tellement j'étais perdu dans mes pensées. C'est Chiru qui me ramena à la réalité en lâchant une petite plainte voulant dire qu'il avait fini de manger et qu'il retournait ce coucher. Ce qu'il fit. Je ramassa donc son assiette à moitier vide et alla la déposer sur le comptoir.
-So-sorry. Quand je commence à voir les défauts dans ce que je fais. On me perd complétement. Enfin, tout ceux qui ne sont pas "connaisseur" ne verrons pas les défauts, mais dès que tu as l’œil pour voir tous les petits détails c'est là que le plaisir de l'art devient presque qu'un obsession. Toujours faire mieux que le précédent...
Je jeta un coup d'oeil à ton assiette et vis qu'elle ne diminuait pas beaucoup.
-Si tu manges pas plus vite ça va refroidir et ça va être moins bon, dis-je en m'étirant par dessus la table pour aller voler un fromage dans ton assiette. Après avoir manger le fromage volé, je mis mon pouce et mon index dans ma bouche à tour de rôle pour enlever la sauce qui avait dessus là où s'était tenu le délicieux bout de fromage il y a quelques secondes.
J'en reviens pas comment je m'amuse. La dernière fois c'était avec mon frère avant que mes pouvoirs ne commence à ce manifester.

Je continuais à manger, à ma vitesse...5 minutes pour finir l'assiette, c'est trop rapide ! Apparemment on la perd quand elle est dans son travail...Alors je vais éviter de parler de ça ! Le truc c'est que j'ai jamais été très doué niveau conversation, encore plus avec une fille, le temps que je commence à me perdre dans mes pensées elle me vole honteusement un morceau de fromage, j'exagère, je voyais surtout une ressemblance avec son Kudan à ce moment là.
-Mignonne è.é
Oups c'est sorti tout seul, bon tant pis, et-ce que je peut rattraper ca, réfléchit, réfléchit ! Je regardais alors la pièce avant qu'elle ne puisse me répondre. JE SAIS !
- Mignonne cette robe là bas, héhéhé. Dis-je en pointant de linge en train de sécher, je me sentait pas forcement mal ici, mais j'était gêné, d'habitude je prend toujours le temps de réfléchir à tout ce que je fait, mais là pas moyen, Je finis mon assiette.
-Je vais t'aider à débarrasser. Dis-je alors que j'avais déjà mon assiette en main et parti pour débarrasser la sienne de la table...

Il a dit mignonne. Ça devais être de moi bien sûr qu'il parlait, parce que la robe qu'il a pointé ne l'est pas du tout étant donner qu'elle est pleine de tache de peinture et que c'est une taille unique. On dirait donc une robe faites pour les grosses.
J'étais encore appuyer sur la table quand il a décidé de débarrasser la table. Je baissa alors mes yeux sur ma poitrine pour voir si c'était ça qui le gênait. Mais non ça ne pouvait pas être ça, parce qu'elle était bien cacher pour tant.
-Hey, mais tu fais quoi là, dis-je en lui enlevant les assiettes des mains. J'ai beau avoir qui de faire comme chez toi, mais débarrasser la table c'est à l'hôte de le faire ça.
J’allai donc porter les assiettes sur le comptoir et les rinça pour qu'elles soient plus facile à laver plus tard. Je m'essaya les mains sur un ligne à vaisselle et me retourna vers Zeff.
-Zeff, c'est moi où tu n'es pas très à l'aise chez moi et c'est bien la dernière chose que j'aimerais. Un invité qui ne se sens pas bien chez moi.
Je revins vers lui et décida de lui sauter sur le dos sans réfléchir avant.
-Alors dégênes-toi et ne pense pas trop ça va aidé, dis-je en restant sur son dos les bras passer par-dessus ses épaules.

Elle me retire la vaisselle des mains, c’était pourtant la moindre des choses que je puisse faire, elle m'invite à manger, c'est normal que je fasse quelque chose, j'en ai eu la voie coupé sur l'instant.
Je ne me sent pas à l'aise chez elle, normal pensais-je après tout c'est là première fois que je vais chez quelqu'un, un fille en plus que je viens de rencontrer, alors oui je suis un peu mal à l'aise.
-Désolé si je donne cette impression. J'était sincère, je ne veut pas paraître désagréable, surtout qu'elle est très sympa, j'me veut un peu pour ça quand même...
Comble de la surprise, pendant que j'était encore une fois perdu dans mes pensées, elle me saute sur le dos, je n'arrive pas à cacher ma surprise, elle est sur mon dos je sent la chaleur corporelle sur tout mon dos, ses bras dépassaient devant moi, je suis paralisé, que ce que je dois faire ? Que veut dire tout ça ? J'ai jamais appris ca dans les livres moi !
C'est rougissant et gêné que je lui répondais:
- Désolé, j'ai juste pas l'habitude de tout ca. Mais par réflexe ou quelque chose du genre, je la tenais histoire qu'elle ne tombe pas, je m'en serais voulu sinon...

Je descendis de son dos. J'avais l'impression de le perturber. Après tout, j'aurais peut-être pas dû faire ça. Maria, tu devrais penser un peu plus des fois même si ce n'est pas ton fort.
-C'est moi qui devrais s'excuser. Quand je me sens bien avec quelqu'un je fais n'importe quoi. Et en même temps, tu me fais pensé à mon grand-frère. C'est peut-être pour ça. Lui aussi c'est un freak du ménage et j'avais remarque que tu te retenais pour ne pas le faire, dis-je en riant. J'ai tendance à trop en faire, donc dit le moi si je fais de quoi qui te dérange...
J'entendis alors quelqu'un cogner à la porte, alors que j'ai une sonnette. Et qui pourrais bien me rendre visite à cette heure du soir ? Quoi que c'est vrai Zeff avait dit que son kudan était parti à la chasse et qu'il reviendrait c'est peut-être lui.
J'alla donc ouvrir la porte...

- Rien ne me dérange, j’apprécie ta compagnie et je suis content que tu te sente bien, c'est vrai...J'aime quand tout est rangé et ordonné, je ne voulais pas faire mal les choses c'est tout. Puis... Détourne le regard. Ça avait rien de désagréable...
Je parlais alors qu'elle allais ouvrir la porte, Qiuan entra d'abord sous forme "adulte" tout en faisant signe à Maria pour la remercier de lui avoir ouvert.
Je m'était déjà ré-assis lorsque Qiuan pris sa forme "de poche" pour me sauter sur les genoux.
"..."
- Non ! Et arrête de dire n'importe quoi. Dis-je rouge tel une pivoine, j'aimerais parfois qu'il arrete de me parler...
"..."
-Ca ira je me passerais de tes leçons de drague... Je parlais avec lui comme si j'étais chez moi, oubliant que Maria pouvais entendre ce que moi je disais...

Je referma pas porte derrière Qiuan. Il est vachement polie ce gros matou. J'alla donc me rassoir à la table écoutant la discussion en Qiuan et Zeff qui me semblais être un monologue. Ça me fait toujours rire ce genre de truc, parce que j'essaie de m'imaginer ce que le Kudan dit. Heureusement de Chiru dort encore sinon il me poserais des dizaines de questions pour comprendre ce qui ce passe.
-Alors comme ça Qiuan, tu donnes des cours de drague à Zeff ? Est-ce que tu accepterais que je participe à l'un d'eux ? J'aimerais voir ça l'air de quoi une leçon de drague, dis-je amusé.
Je m'appuya les bras et la poitrine sur la table. Quoi que ce soit très confortable, cette position à l’inconvénient de faire remonter mes seins, mais ça ne me gêne pas vraiment. Après tout j'ai l'habitude d'avoir un bébé raton laveur assis dessus.

"..."
-Tu pourrais pas aller dormir toi aussi ? N'essaye pas de me faire croire tout ca, tu as juste envi de t'amuser... Doutant de son kudan et surtout vu la réaction de Maria, j’étais en plutôt mauvaise posture...Enfin y'a que moi qui à l'air en mauvaise posture parce que elle...QUOI ? Voilà un façon des plus insolite de se tenir sur une table, désolé, je peut pas j'était comme obligé de la regarder, enfin pas vraiment obligé mais là...
C'est comme une vache dans un parloir, bizarrement, mon regard restait là, je sais que j'ail'air d'un pervers de premier ordre, elle le prendra sans doute mal mais...C'est pas ma faute...
-Hum...Vaut mieux pas que tu suive ses leçons, il dit avoir du succès...J'y crois moyen. Qiuan s'est allongé sur mes jambes, il s’était calmé ? noooooooon, cet idiot à tellement de chose en tête que je devais me méfier, mais bizarrement ma tête semblait ailleurs, il me planta ses griffes dans la cuisse, sous la surprise de ce geste je me leva précipitamment et déstabilisé, je tentais de ma rattraper sur la table mais ce fut sans effet, je trébucha en avant, entraînant mon hôte dans ma chute. Situation gênante, je me retrouve au dessus d'elle après avoir mis son appartement encore plus en pagaille, les mains posées sur le sol à coté de sa tête... JE veut renter chez moi !!!!

Tout c'est passé si vite que la première nouvelle que j’eus fut que j'étais allonger par terre Zeff par dessus moi. Et de la façon qu'on était placé, la seule façon pour moi de sortir de cette position archi gênant était que lui se tasse.
Je ne suis pas sûr, mais je crois que j'avais la face rouge tomate, parce que j'avais les joue en feu et j'avais l'impression qu'il faisait archi chaud dans l'appart. J'avais l'impression que je ne pouvais détacher mon regard du sien, mais je me força à le faire. Je tourna donc la tête sur le côté pour ne plus le regarder, mais plus que les secondes s'écoulais, et qui me semblais une éternité, plus je rougissais à cause des idées qui me venais à l'esprit.
AH NON MARIA FAUT PAS PENSÉ À CE GENRE DE TRUC. Tu n'es peut-être pas une bonne croyante, enfin pas du tout croyante, mais Maria ton père et ton frère serais en colère s'il apprenait ça. Ah non je ne veux même pas imaginer.
Je me ferma les yeux quand une autre image déplacé me passa par la tête.
CHIRU VIENT M'AIDER !!!!

Dans ma tête c'est blanc, je ne pense plus à rien, en la voyant devenant rouge je le suis moi même devenu, je pouvais pas bouger, je la regardais dans les yeux, sans réellement savoir pourquoi drôle d'ambiance, il faut que je bouge de la, elle détourne le regard du mien. C'est bizarre, une ambiance assez étrange régnais dans l'appartement, il faut que je bouge, je me suis alors décidé après quelques secondes de me relever. La façon dont elle à réagit était si mignonne...Hé pourquoi je pense ca !
Je me dégagea de cette situation, mais que faire ensuite, je ne pouvais plus la regarder dans les yeux et j'avais la désagréable sensation d'être gêné au point d'en avoir rougit comme jamais.
Dans un coin de la pièce, Qiuan s’était allongé en ronronnant, l'air de rien...
-Je...Hum... Pas moyen de dire un mot, j'avais perdu le peu d'aisance que j'avais avec elle. je baissait donc la tête, le temps que mes rougeurs disparaissent...

Je me redressa doucement en position assise après qu'il ce soit relever. Je gardais les yeux fixé sur le sol. Que faire et que dire ? L'ambiance était devenu lourde et j'avais encore chaud. Mon cerveau fonctionnait à plein régime pour essayer de comprendre quelque chose, mais rien nada. Mais ce n'est pas comme ça avait été désagréable de ce retrouve dans ce genre de situation et en plus ses yeux était vraiment beaux je n'avais même pas remarquer leur couleur avant ça et en plus pendant une fraction de secondes j'avais cru sentir quelque chose de bon par dessus les restant d’effluve de la poutine. C'était peut-être son shampooing ou son savon qui avait cette odeur.
Minute qu'est-ce que je raconte là ? Maria ressaisis-toi !
Je décida donc de dire quelque chose
-C-ce n'est pas grave.. Ça arrive à tout le monde de tomber...
MAIS POURQUOI JE ME MET À SOURIRE COMME UNE TARTE MOI ?!? Ça y est, je me cacha le visage derrière mes mains pour cacher mon excès de rougeur.

On est aussi gêné l'un que l'autre... Ça serait bon signe ? Non attend, c'est pas le moment de penser à ça...
-C...c'est vrai, ça arrive hahaha*Rire nerveux*
"..."
Ce qu'il me dit, d'une certaine manière me rassure un peu, elle cache son visage mais j'ai cru voir un joli sourire juste avant, je dois faire quoi maintenant ? Je commençais donc à remettre les meubles que j'avais fait tombé en place, comme un réflexe.
Même le fait de ranger ne me faisait pas sentir mieux, c'est la première fois quun truc comme ca m'arrive, Qiuan le sait.
-Qiuan... Dis je d'un air sérieux.
"..."
-Il semblerais qu'il ai voulu m'aider à faire un pas en avant...

Je le laissa replacer les meuble tomber et moi je resta assise par terre le visage cacher derrière mes mains. Je n'osais pas bouger. En fait, je voulais bouger, mais mon corps lui ne voulais pas.
J'entendis Chiru bailler bruyamment. Il venait de ce réveiller et l'instant d'après Zeff me dit que Qiuan a voulu l'aider à faire un pas en avant, mais en avant de quoi ? J'enleva mes mains, qui m'obéissait de nouveau, de devant mon visage et me releva tranquillement.
-Faire un pas en avant de quoi ?
J'étais de nouveau calme. Chiru m'avait parler de sa petite voix claire et douce qui avait le don de me calmer. J'adorais ça, parce que ça m'aidait à mettre de l'ordre dans mes idées. Mais ça Zeff l’ignorait, parce que Chiru avait eu la brillante idée de faire semblant de continuer de dormir.

C'est vrai ca, un pas en avant de quoi ? j'ai fait la traduction sans trop réfléchir, j'aurais peut être du...Je pourrais plus.
Qiuan se releva et se mis derrière moi.
"..."
-Il dit qu'il va te montrer. Il se re-transforma donc en "adulte" et me poussait vers elle, pas très fort, juste assez pour que je soit obligé de faire des pas en avant.
-Que fait tu ? Demandais je à Qiuan qui ne semblait pas avoir envi de répondre, un coup de tête dans le dos un peu plus fort me fit avancer jusqu'à elle, juste en face d'elle.
"..."
-Pourquoi devrais-je la regarder dans les yeux ? Mais je m’exécutais quand même, j'avais pas envi de comprendre quoique ce soit au final, tout ce que je voulais c'est...quoi ?

Mais ils font quoi c'est deux là. Et Chiru qui fait semblant de... Ah non il ne fait plus semblant de dormir il est placer à côté de Qiuan et il me dit de faire comme Zeff. Mais Chiru t'es juste un bébé pourquoi tu me dit de faire ça ? Ah non dit moi pas de que le gros matou à une influence sur toi. Mais bon c'était plus fort que moi et je regarda donc Zeff dans les yeux. Quoi que c'était gênant de savoir qu'on était observé même si je ne comprenait pas grand chose à leur but. Faut dire aussi que je n'ai jamais été proche de qui que ce soit les seuls gars que j'ai aimé et côtoyer dans ma vie était mon père et mon frère, mais ça ça ne compte pas.
-Et il ne passe quoi maintenant ? demandais-je. Qiuan, il y a autre chose que tu voulais me montrer ?
"..."
-Chiru retourne te coucher au lieu de dire n'importe quoi, dis-je en soupirant.
Chiru a dit que le reste ce ferais tout seul, mais c'est n'importe quoi il ne va rien ce passer. Je viens tout juste de rencontrer Zeff.

Coup de papatte dans le dos de Zeff, nous sommes vraiment proche, assez pour que je sente son parfum, je ne pouvais pas décrocher mes yeux de son regard, pourquoi j'y arrivais pas ? Aucune idée, bizarrement, malgré la situation je trouvais sa vraiment agréable, je respire sans doute un peu fort, mon coeur fait des siennes j'ai l'impression...
-C'est assez bizarre, non ?
Nous sommes presque collé l'un à l'autre maintenant, j'ai du mal à regarder ses yeux, il fait chaud ici non ? C'est pas que à cause de Qiuan qui m’empêche de reculer en restant "debout" derrière moi.

Il est trop proche pour que je puisse continuer à garder mes idées en place. Je sens son souffle fort sur mon visage et il fait vraiment trop chaud. J'ai pratiquement l'impression d'entendre son coeur qui bat. Ah non minute c'est le mien qui cogne contre ma poitrine, mais je suis certaine d'entendre le sien aussi.
Je pourrais très bien me reculer ou tout simplement me décalé sur le côté pour arrêter tout ça, mais mes jambes ne veulent pas bouger.
Étant donner que je suis plus petite que lui, en baissant les yeux pour me soustraire à son regard, tout ce que je voyais maintenant c'était ses lèvres. Sans même m'en rendre compte comme si j'étais hypnotiser, je leva une main et passa l'index sur sa lèvre inférieur.
-C'est étrange en effet, dis-je en me mordant la lèvre inférieure comme si j'avais le goût de gouter à ses lèvres.

-Hum... Je ne sent plus Qiuan derrière moi mais...Quelque chose m'en empêche ou peut être que j'en avais simplement pas envi, je veut dire quand elle posa son doigt sur ma lèvre j'ai eu une soudaine envie de l'embrasser, non pas que je soit un garçon très informé sur le sujet...C'est même plutôt la première fois mais...Ca va vite, un peu trop vite, je lui trouve plusieurs qualités en plus d'être jolie...En fait j'essayais dans ma tête de peser le pour et le contre, forcé de constater que je ne trouvais pas de contre, je rapprochais un peu plus mon visage du siens, ses yeux m’envoûtent, je ne veut pas les quitter des yeux justement, je relevais un peu sa tête avec une main pour les voir encore une fois.

"Zeff j't'en supplis fait pas ça " le suppliai-je intérieurement. Trop tard, il avait lever ma tête et j'ai replonger mon regard dans le sien. J'avais l'impression que je ne pourrais jamais me lassé de regarder ses yeux. C'était tellement intense que je ne voyait même plus mon propre reflet dans les yeux de Zeff. En fait, je ne voyais même plus ses yeux comme telle, mais plutôt que ses pupilles. Je me noyait dans ce noir profond. Plus rien n'existait autour de moi. J'entendais a peine la voix de Chiru dans ma tête. Ma tête et mon corps fonctionnaient sur le pilote automatique.
Je me remonta sur la pointe des pieds, avança ma tête jusqu'à ce que mes lèvres touche les celles de Zeff. Je ferma les yeux et posa une main sur sa joue et l'autre sur son épaule.
Ce n'était pas mon premier baisé, mais mon premier sur le pilote automatique par contre. Je nous savais observer par nos kudans, car je sentais leur regard sur nous, mais en fait ils ne me dérangeaient aucunement. Je ne pensais seulement à embrasser le jeune homme qui se tenait devant moi.