Une rencontre sous la pluie[Pv Mirran Toz]

Dans cette journée pluvieuse d'un samedi après-midi, Etsukazu avait décidé d'explorer un peu les alentoures de l'école. Il était arriver qu'il y a deux semaines et avec tout les nouveaux élèves qui lui donnait parfois mal à la tête, il n'avait pas songé à quitté l'école ou sa résidence. C'était le moment propice pour sortir car le vent soufflait fort et la pluie s'abattait puissemment. Comme il adorait ce temps-là!

Il marchait donc en route pour l'inconnu et il réfléchit à un rumeur qu'il avait entendu sur un endroit. Selon cette légende un prince avait emmené sa dulcinée au bord de ces cascades et cette idiote avait décidé d'y nager mais malheureusement elle s'y noya. Le prince était devenu fou resta lui aussi dans ces cascades et celles-ci chantaient pour se remémoré se souvenir douloureux. Il avait donc décidé d'aller à cette endroit: L'eau était belle et le paysage sous cette pluie abondante était tout simplement magnifique! Etsukazu s'accota sur un arbre et regardait doucement ce que la nature lui offrait. Il était paisible et Ivan, son kudan, l'était aussi.

Etsukazu, ne comprenant pas le comportement de l'amour ou de l'attachement envers une personne quelconque, trouvait cela terriblement idiot que cet homme est souffert à cause d'une simple mort. On pourrait le caractérisé ainsi de sans coeur - Et ce ne serait pas la première fois qu'on lui ferait la remarque- mais se n'est que parce qu'il en est tout simplement ignorant. Pour lui, tout les êtres sont des déchets que l'on est capable de manipuler à notre guise. Ce sont les faibles qui se font dominer par leurs émotions et que ceux-ci nuisent à la progression de l'humanité.

Enfin bref. Il était là, rêvassant tout en restant à l'affût tandis que Ivan lui disait qu'il avait faim. Ce n'était pas anormal pour lui, il lui disait sans cesse ses mots presqu'à chaque heure.

- Ne peux-tu pas te retenir de me dire sans cesse que tu as faim? Tu as assez manger aujourd'hui attend à ce soir pour manger gros gourmand . Dit-il tandis qu'il entendit un bruit. Qui est-là? Fit-il en essayant de trouver d'où venait le bruit lorsqu'il vit une ombre lointaine.

J'étais sorti avec Marco en moto. Même s'il pleuvait à boire de bout. Marco voulais aller aux cascades chantantes. Il disait que c'était facile d'avoir du poisson là-bas les jours de pluie. Habituellement, je l'aurais laisser partir tout seul, mais vu ce qu'il c'était passer l'autre soir. Je préférais ne pas rester seule de peur que ça me reprenne.
Je laissai ma moto en bordure de la route et marcha aux côtés de mon cher Marco Dilasso.
"Mirran, pourquoi as-tu sauvez le bouffon quand il est arrivé ?" Marco parlait d'une voix profonde et grave, mais à la fois douce et amicale.
Par contre, sa question m'avait laissé perplexe. Pourquoi avai-je sauvé Keisen ? J'aurais pas pu dire. Je ne répondit donc rien et continua de marcher aux côtés de ma panthère. Une fois qu'on était pratiquement arriver aux cascades, j'entendis un son presque inodible. J'utilisa donc mon Ouïs pour bien comprendre ce que j'entendais pour comprendre que c'était quelqu'un qui parlais.
-Qui est là?
Ce fut ce que j'entendis. Je regarda Marco pour comprend que lui aussi avait bien entendu. Nous courrames donc d'un accord commun vers la source de ces paroles.
Une fois arriver à la hauteur d'un jeune homme et d'une sorte de lion, je réalisa que c'était le nouveau prof arriver il y a 2 semaines de cela.
-Okamoto ? Qu'est-ce que tu fais là ?
Mon ton de voix donnait l'impression qu'il était obliger de me réponde quand ce n'était aucunement le cas.

L'ombre se rapprochait de plus en plus tandis que Ivan et Etsukazu se mettait en garde. Celle-ci se rapprochait rapidement lorsqu'il reconnu Mirran, la professeur de magie. Cette jeune femme lui avait montrer cette établissement pendant la première journée de cours de cet homme aux cheveux bizarrement blanc.

-Okamoto ? Qu'est-ce que tu fais là ? Dit-elle sur un ton assez puissant comme si elle tenait vraiment à savoir se qu'il faisait ici.

- J'explorais les environs et vous que faites-vous ici en ce jour pluvieux? Demanda-t'il tandis que Ivan, affamé comme chaque minute, décida de partir à la recherche de poisson bien qu'il aimait mieux la viande rouge.

À l'habitude personne n'oserait sortir de chez lui en ce temps froid et pluvieux, si parfait pour Etsukazu qui aimait le calme et la solitude.

Durant les deux semaines qu'il avait passé, il avait entendu un tas de rumeurs sur Mirran qui avait légèrement attiré l'attention du blanc. Celles-ci racontaient comment cette femme était sévère et qu'elle n'avait aucunement peur de dire se qu'elle pensait. Il a aussi entendu de quelqu'un qu'elle était sadique à ses heures. C'est fou comme l'on entend de drôles de choses dans les couloirs de l'école simplement en tendant l'oreille.

En deux semaines seulement, il avait déjà la réputation du sadique fou. Etsukazu avait probablement parler à quelqu'un qui n'était pas vivant dans son cour bien que celui-ci n'y participait surement pas. Il aurait surement parler plus franchement à un esprits qui l'harcelait comme ça arrivait souvent depuis qu'il était près d'un cimetière.

Eh merde, j'aurais dû m'y attendre que c'en était un qui vouvoyait le monde.
-Ne me vouvoie pas. Je déteste ça et j'accompagnais juste Marco qui est venu manger le poissons y a ici. La pêche est supposément plus fructueuse les journée de pluie selon lui du moins.
J'ormis de dire le plus important, mais seul Marco avait le droit d'être au courant de ce détail et maintenant Keisen pour des raisons particulières.
-J'ai entendu dire que tu étais un sadique malade mental. C'est bien. Tu vas te faire respecter par tout le monde à l'école. Moi ça fait 9 ans que je suis ici et yah jamais eu un chat qui a osé s'en prendre à moi. Faut dire aussi que ceux qui on osé n'ont pas pu aller jusqu'au bout, dis-je en me mettant à rire.
Je m'étais souvent amuser à humilier ceux qui avait voulu s'en prendre à moi soit à cause de mon teint balzaner ou mon accent latino ou même juste à cause du fait que j'étais une fille qui avait l'air de prendre tout le monde de haut. En tout cas, ils avaient vite appris qu'il ne fallait pas s'en prendre à Mirran Toz et à Marco Dilasso.

Cette femme avait une allure d'une fille qui avait du vécu et cela ne déplaisait pas à Etsukazu. Celle-ci lui dit de ne pas la vouvoyer et il ne se laissa pas répété deux fois. Ivan, qui est paresseux à l'habitude, réussit en quelques minutes à attraper un poisson. Etsukazu espérait qu'il se contenterait de ça et qu'il n'irait pas le voir de nouveau l'achalant qu'il avait faim.

-J'ai entendu dire que tu étais un sadique malade mental. C'est bien. Tu vas te faire respecter par tout le monde à l'école. Moi ça fait 9 ans que je suis ici et yah j'avais eu un chat qui a osé s'en prendre à moi. Faut dire que ceux qui on osé n'on pas pu aller jusqu'au bout. elle se mit à rire par la suite.

Etsukazu, tant qu'à lui fit un mince sourire:

- En effet, j'ai entendu dire ça de la part de quelques élèves et déjà plusieurs s'éloignent en me voyant. C'est amusant.

C'est des personnalités fortes comme celles-ci que Etsukazu aimait mettre en miette. Mais bon, cela ne faisait que deux semaines qu'il était là, il pouvait bien attendre un peu avant de détruire quelqu'un psychologiquement.

Un autre qui faisait peur aux jeunes. J'aimais ça, mais j'aimerais pas qu'il décide de me dire quoi faire. J'ai toujours donner des ordres à tout le monde ça ne changerais pas aujourd'hui. J'ai pas ce pouvoir pour rien.
-L'avantage d'avoir le monde qui ont peur de toi c'est que tu peux leur faire faire n'importe quoi. Et quand les jeunes sont en retard à leurs cours, ils font juste donner notre nom et c'est fini on en entend plus parler.
Je jetta un coup d'oeil à Marco qui avait l'air très concentrer à sa tâche. Je décida de ne pas le déranger. Mon regard dévia au Kudan de mon collègue en me disant que j'aimerais bien fumer un bonne cigarette, mais avec cette pluie c'était impossible et j'vais laisser mon paquet à l'appartement en plus. Rien pour aider mon cas.
-J'ai un conseil à te donner par contre. Ne viens pas jouer dans mes plats de bandes, parce que sinon je ne me gênerai pas à utiliser mon pouvoir sur toi et Keisen c'est MON souffre douleur donc pas touche. On se comprend bien ? Si on se comprend, je pense bien qu'on va pouvoir bien s'entendre.
Je lui souria en espérant qu'il avais l'air, parce que je n'avais pas l'habitude de sourire. En fait, je ne me souvient pas de mon dernier vrai sourire ça fait tellement longtemps.

Etsukazu l'avait remarquer à la suite de son dernier cours qu'il avait pu avoir l'attention des gens ou du moins que ceux-ci ne parle pas durant se précieux cours. Le premier cours était tellement désordonné et il avait irrévocablement l'envie de se tuer, mais il ne l'avait pas fait car se serait trop beau. Le deuxième cours avait la même attitude que le premier cependant, lorsque qu'il avait murmurer quelques mots un tantinet sadique, les gens qu'ils l'avaient entendus c'était mit à vouloir enfin se mettre à cette matière. Etsukazu avait distribuer des feuilles le troisième cours et en avait mit une de trop. Pour lui, il y avait bien quelqu'un mais pour les autres non. Donc il avait soigneusement déposer la feuille sur le bureau de l'élève fantôme et celui-ci lui avait posé une question. Ce blanc avait donc soigneusement répondu et les chuchotements commençaient à faire le tour de la classe. Voilà pourquoi on l'avait appeler le sadique fou. Par la suite, personne n'osait lui parler et C'était tant mieux car moins on lui parlait moins on augmentait les risques d'une morte subite.

-J'ai un conseil à te donner par contre. Ne viens pas jouer dans mes plats de bandes, parce que sinon je ne me gênerai pas à utiliser mon pouvoir sur toi et Keisen c'est MON souffre douleur donc pas touche. On se comprend bien ? Si on se comprend, je pense bien qu'on va pouvoir bien s'entendre.

Cela l'intriguait. Qui était se fameux Keisen? Était-ce la fameux professeur de mathématique tellement inoffensif qu'on le comparerait à un papillon ou serait-ce l'infirmier légèrement sadique qu'il avait put converser un peu la semaine dernière? Il pencherait plus sur ce faiblard car les souffre douleur sont très majoritairement des gens faibles.

- Et quel est ton pouvoir au juste? Dit-il non pas vraiment curieux car il s'en fichait pas mal.

Des ordres, comme il aimait en donner et il détestait en recevoir. Malheureusement, ce n'était pas son genre à prendre quelqu'un déjà part terre et à l'écraser encore plus. C'est donc pour ça qu'il ne toucherait guère à ce fameux Keisen. Par contre il aimait les défis et il aimerait bien affronter cette Mirran un jour.

Il me demanda quel était mon pouvoir. Ce qui m'étonna, parce que tout le monde dans l'école connaît mes pouvoirs. Faut dire aussi que tout le monde me connaît de réputation et que ça fait longtemps que je fréquente Magic.
-Mon pouvoir ? Tu veux savoir quel est-il ? Je pourrais te le dire ou te le montrer. Ça serais bien plus amusant de te le montrer, mais tu m'as l'air puissant donc je ne veux pas m'attirer de représailles. Mon pouvoir actif c'est l'Ordre et si juste le nom ne te dit rien vient juste me faire chier et tu le sauras assez vite ce que ça signifie.
J'avais l'impression que ça lui passait 10 pieds par dessus la tête, mais bon valait mieux faire la conversation en attendant que Marco est fini sa pèche. Et je me fichais un peu aussi de savoir les siens, parce que j'ai lu sa fiche et comme sur toutes les fiches, autant des élèves que du personnel, les pouvoirs de tous et chacun y était inscrit.

Etsukazu n'avait pas besoin d'une démonstration pour comprendre. '' L'ordre'' C'était assez simple à comprendre et très efficace comme pouvoir pour se faire écouter des élèves ou simplement pour avoir se dont on avait envie. cette femme n'avait pas l'air très sage, disons, alors il en déduit donc qu'elle l'avait surement utilisé pour son bien-être.

L'homme aux yeux gris soupira. Il n'avait qu'une envie, c'est que cet esprit qui le suivait depuis cinq jours s'en aille. Mais celui-ci était coriace, même s'il l'ignorait, le fantôme continuait sans cesse de lui parler. Comme c'était épuisant! Tout cela à cause que, monsieur l'intelligent, lui avait accidentellement parlé, pensant encore une fois qu'il était encore vivant. Il l'avait ignoré et menacé, rien ne fonctionnait et l'autre n'arrêtait pas. ''Blah! Blah! Blah! Est-ce que Éric va bien? Blah ! Blah! Blah!'' Et ça recommençait, en cours, il ne pouvait plus enseigner son cours tellement il était inssupportable. Depuis, il avait apprit sa vie par coeur: il aimait un fille mais cette fille l'a laissé tomber au bout de deux semaine. - On comprend pourquoi- Il avait une ami mais lui aussi l'a laissé tomber. Il a tout perdu à cause de l'alcool et de la drogue et il c'est pendu sans avoir put dire au revoir à ces amis. Quel triste existance, mais Etsukazu s'en fichait totalement de sa vie autant qu'elle soit misérable.

Il se fappa contre un arbre quelques coups avant de se pincer le nez.

- '' Encore ce satané esprit qui te colle au basques?'' Dit Ivan qui mangeait tranquillement.

Il hocha la tête en guise de réponse.
Cet esprit n'était pas simple, oui il parlait mais il avait assez de puissance pour déplacer quelques objets et donc s'amuser un peu. Cet esprit décida d'arrêter de parler mais, à la place, il prit une branche et l'agita devant Mirran.

-'' Bouh! '' Dit le fantôme blondinet avec plein d'entousiasme.

Etsukazu, exaspéré, éleva légèrement la voix vers ce blond aux yeux bleus et dit:

- Tu te prends pour quoi à la fin espèce de déchet !? Tu crois peut-être faire peur mais non. Et lâche-moi la fin! Vas trouver quelque chose de mieux à faire que me déranger sans cesse!

J'avais de la difficulté à comprendre le comportement de mon collègue et le trouvais légèrement étrange, quand une branche me passa sous le nez. Je n'en fit pas de cas et la poussa du revers de la mains. Mais par contre, je sursauta en entendant Okamoto crier. J'étais certaine qu'il me parlait, car il regardait dans ma direction.
Marco à dû avoir la même impression, car il se rapprocha de nous en montrant les dents d'un air malin. N'acceptant pas de me faire crier dessus, je monta le ton à mon tour.
-Mais tu te prend pour qui pour me traiter ainsi et si je te dérangeais autant tu n'avais qu'à le dire et je serais repartie d'où je venais espèce de connard.
J'étais partie sur ma lancée et le traitait de tout les noms qui me venait à l'esprit. Je n'avais même pas remarquer le regard surpris de Marco. Je ne le remarqua qu'une seule fois rendu allongé par terre à cause de mon gros matou qui m'avais fait tomber pour me fait comprendre que c'était un malentendu. Et dire que j'étais à deux doigts de lui ordonner de faire un truc que je n'ai jamais ordonner à personne de faire.
Abasourdi, je remercia Marco à voix haute et m'excusa auprès d'Okamoto, pas parce que je l'avais engueuler, mais parce que j'étais pour lui faire faire quelque chose d’extrêmement douloureux et dégoûtant.

Etsukazu, avais fait partir cet idiot de fantôme et il espérait ne plus le revoir. ces problèmes lui arrivaient souvent et lorsque cela se produisait, le blanchâtre perdait sa patience quelques fois comme c'était arrivé. Le professeur d'histoire se calma tandis que le Kudan de l'autre professeur montrait les dents et celle-ci éleva la voix:

-Mais tu te prend pour qui pour me traiter ainsi et si je te dérangeais autant tu n'avais qu'à le dire et je serais repartie d'où je venais espèce de connard.

Elle en rajoutait sans cesse et après quelques secondes elle le perdu car Ivan lui parlait: '' Il n'es plus là, tu es enfin libéré. ''

Lorsque celle-ci se calma et s'excusa, étant rendu par terre grâce à son Kudan, Etsukazu pouvait enfin prendre la parole:

- Tcht! Ce n'était pas à vous que je m'adressais mais à l'esprit qui était juste devant vous. Ce crétin me poursuit depuis des jours.

Soudainement, un éclair jaillit du ciel et une seconde plus tard un grand bruit se fit. Les éclaires étaient terriblement proche. Etsukazu souriait en entendant ça, c'est ce qu'il attendait, il trouvait le spectacle magnifique.

Il était donc hantée par des fantômes.. J'aurais dû y pensé. Après tout, j'avais lu son dossier dans les classeurs du directeur. L'instant d'après un orage avait commencé ce qui me fit sursauté en entendant de tonnerre aussi fort.
Marco avait débarque de sur moi pour me permettre de me relever. "On va devoir partir", me dis-je. Je détestais les orages, car ils sont relier à des événements que j'aurais aimer qu'ils n'arrive jamais.
-Je m'en excuse Okamoto et heureusement pour toi que Marco était là, parce que je crois bien que toi tu ne serais plus. Bon ce n'est pas tout, mais on va rentrer nous, dis-je en regardant le ciel d'un œil malsain avant de rajouter en tournant les talons: Viens Marco on s'en va.
Je ne dirigea donc vers ma moto, rester au bord de la route, avec ma panthère. Keisen va probablement se mettre à s’inquiéter si je ne rentre pas, mais perso j'aime bien le voir inquiet c'est marrant.
«Je vais pouvoir jouer avec Totoro ?»
J'éclatai de rire comme réponse.